Auteur/autrice : ghostdog

  • Des lycéens à Seigakukan

    Des lycéens à Seigakukan

    Comme l’année dernière, une classe de Première STMG du lycée Jean-Pierre Vernant à Pins-Justaret a cloturé sa journée d’intégration par une initiation au kendo orchestrée par Pascal Loidi. Le bilan de l’expérience de l’année dernière ayant été très positive sur les relations entre les élèves, mais aussi dans les liens de confiance et de respect entre les élèves et l’équipe pédagogique, cette deuxième visite va permettre, nous l’espérons, de confirmer les effets à long terme de ce type d’événement. Le bilan immédiat est déjà largement satisfaisant : les élèves ont joué le jeu et même les plus bavards ont fini par accepter la discipline et les règles du dojo, y compris le silence pendant le salut. L’un des moments charnières a été, plus encore que l’année dernière, le premier Men vu en direct par les élèves sur la tête de l’une des quatre armures qui s’est gentiment déplacé pour l’occasion : des cris ont jailli de la bouche de quelques élèves ! D’après les profs présentes, cette séance a surtout été une belle occasion d’avoir un autre regard et de connaitre rapidement les élèves : l’un fait le pitre lorsqu’il ne se sent pas capable, une jeune fille taciturne et parfois insolente s’est montrée très respectueuse des personnes et des consignes, une autre très effacée a su s’investir et lancer des kiais pleins d’énergie. Bref, le pari est déjà gagné. La balle est dans le camp des jeunes pour construire leur année sur ce petit moment hors du monde.

    Les impressions :

    • “Ça m’a permis de découvrir un art japonais. J’ai bien aimé” Anthony
    • “Très intéressant mais très fatiguant!” Agathe
    • “J’ai pu découvrir une nouvelle activité physique mais ça m’a montré aussi qu’il fallait avoir beaucoup de rigueur et de sérieux dans les arts martiaux, et aussi du respect” Jarod
    • “J’ai eu du mal à oser taper mais j’ai aimé découvrir quelque chose de totalement inconnu avant” Laura
    • “C’était marrant et tellement différent de mon sport, le foot..;” Klaudia
    • “Ça fait beaucoup travailler les bras et les jambes et ça m’a donné envie d’en faire” Morgane
    • “C’était intéressant mais je n’aime pas les activités d’intérieur et le fait de manier le sabre. Mais le cours était bien” Cloé

     

  • SEIGAKUKAN A LA JAPAN TOUCH

    SEIGAKUKAN A LA JAPAN TOUCH

    Le week-end dernier (8 et 9 septembre 2018), le dojo a participé à la Japan Touch organisée dans l’espace Compans Cafarelli au centre ville de Toulouse. Cette manifestation a rassemblé associations culturelles, artisans, libraires et bien sûr différents arts martiaux afin de faire découvrir ou mieux connaître la culture japonaise aux toulousains. Origami, mangas, Zazen … et le Kendo à travers SKT ont donc été mis en avant pendant ces deux belles journées, le soleil étant au rendez-vous sur la ville rose, quoique plus timidement dimanche. L’événement a remporté un succès indéniable puisque samedi soir, les premières estimations des organisateurs étaient de 6000 personnes sur une seule journée !

    Et effectivement nous avons vu du monde : adolescents, couples, familles, hommes, femmes de tous âges se sont arrêtés pour admirer les armures, soupeser bokken et shinai sous le regard bienveillant d’Okada Senseï qui occupait une place de choix sur notre stand. L’expérience a été un beau moment car nous avons échangé avec un public ouvert, curieux et intéressé. Tous les volontaires présents (encore merci à eux !) ont été sollicités et ont répondu de leur mieux aux multiples interrogations.

    Les démonstrations orchestrées par notre sensei Pascal Loidi (katas sur la scène puis suburis et Geikos sur les tatamis) ont attiré bon nombre de curieux mais aussi d’amateurs : nous avons pu reconnaître dans la foule des personnes qui étaient passées nous voir au stand. Les initiations ont aussi été appréciés par les visiteurs. Loin d’adopter une attitude passive ou d’observateur, nombreux sont ceux qui ont sauté le pas et, sous le regard et les consignes bienveillants de Sylvain, ont lancé leur premier men. Nos nombreux “initiés”, hommes, femmes, filles, garçons se sont montrés très volontaires, des plus jeunes (un petit Corto de 4 ans) aux moins jeunes.

    Le bilan que nous pouvons dresser de l’événement est d’ores et déjà plus que positif : beaucoup de toulousains connaissent désormais le Kendo ! Quant à ceux qui envisagent de rejoindre la famille Seigakukan ou les copains de Carcassonne ou de Pau, nous les attendons avec plaisir !

  • REPRISE DES COURS ENFANTS ET ADOLESCENTS

    REPRISE DES COURS ENFANTS ET ADOLESCENTS

    Les cours pour enfants et adolescents reprennent enfin à Seigakukan ! Les mardis et jeudis de 18h à 19h, les plus jeunes (dès 7 ans) pourront s’engager dans la voie du Sabre. «Combattre» en toute sécurité, se dépenser, se prendre un temps pour un samouraï ou pour son personnage de manga favori… Les attraits et les valeurs des arts martiaux sont nombreux et convertissent de plus en plus de gens. La majorité des parents sont heureux que leurs enfants soient plus réceptifs au code de conduite dans lequel le respect et l’écoute se font la part belle. Les jeunes kendokas prennent énormément de plaisir et ainsi petit à petit prennent confiance en eux tout en progressant dans la maîtrise d’une énergie parfois débordante !

    Les cours seront dispensés par Pascal Loidi, 5ème Dan, dans un esprit de découverte, de progression et de plaisir.

  • La Première Fois par Anouk

    La Première Fois par Anouk

    Je vais vous faire découvrir le Kendo. C’est un art martial dans lequel il faut travailler progresser et des fois on dit que c’est trop dur mais si on travaille encore on va réussir. Ce n’est pas facile-facile mais il faut continuer.

        L’équipement : il y a un men, qu’on met sur la tête, et on a un do sur le ventre. On a un taré qui se met sur les cuisses, on a des kotés qui se mettent sur les mains et les poignets. L’arme est un shinai, avec une ficelle qui représente le dos de la lame, il est fait de bambou. Moi j’ai envie de porter l’armure car sans il y a plein de choses que je peux pas faire et en plus il y a en qui sont trop jolies. Je serai fière d’être en armure  et je me sentiai plus forte. J’aime tenir mon shinai ; il m’obéit la plupart du temps mais des fois il fait des sauts que je ne veux pas.     J’aime bien les paroles qu’on dit quand on frappe. On crie «Men ! Do ! Kote». C’est le nom des attaques et des endroits où on tape comme par exemple on crie «men» quand on tape sur le Men. Ma frappe préférée c’est Do. Car c’est une frappe où je me sens bien.

        Pour faire du kendo on met un hakama c’est le pantalon et une veste (un Gi). C’est généralement bleu marine mais les femmes et les enfants peuvent porter en blanc et moi j’aimerai bien avoir une tenue blanche car ça fait professionnel.

        Au Kendo on apprend plein de mots de japonais comme Senseï (maître), on apprend à compter – moi je sais compter jusqu’à 5 en japonais-, à dire merci beaucoup : Aligato gozaimashita

        Ce que j’aime au kendo c’est l’effort physique, qu’on soit une équipe, qu’on s’aide et même les plus grands ils peuvent aider les plus petits pour bien faire les mouvements.

        C’est trop cool le Kendo !

    Anouk, 7 ans et demi

  • La Première Fois par Milie

    La Première Fois par Milie

    ou les pérégrinations d’unE kyusha lors de sa première compétition de Kendo

    Quelques lignes qui s’éloignent de la rigueur et du sérieux habituel de nos articles pour vous faire part de mon expérience en compétition. Avant toute chose, je plante le décor : femme de 40 ans, je pratique le Kendo depuis trois ans maintenant chez SKT. Bien qu’ayant toujours été sportive, j’avoue que l’âge, les enfants, le boulot… et aussi un peu le caractère exigeant de notre art ont fait que ma progression s’est plutôt faite à un pas de sénateur. Quoiqu’il en soit, j’ai suffisamment avancé sur la voie pour me dire «Tiens et si j’allais à une compét’ ?» sans que cette idée me semble une aberration. Les raisons qui m’ont motivée sont purement non rationnelles : mes 40 ans à fêter, un peu de jalousie pour l’ambiance entre les copains que j’avais encouragé à quelques reprises, un peu d’égo de l’ordre de «je veux faire comme les grands»  et parce que j’adore les défis. Avec un tel profil, vous pensez déjà que forcément, c’est mal engagé et que vous, si vous veniez au dojo, vous ne vous lanceriez pas dans une telle aventure. Eh bien attendez. Il y aura même un happy ending (mais pas à l’américaine car nous sommes dans la vraie vie).

        En tant que femme, quand on va à une compétition, qu’elle soit officielle ou non (pour moi ça a été la Coupe de Pessac, non-officielle et la Coupe de la Chouette à Chateauroux, sur deux week-ends consécutifs), on découvre tout de suite quelque chose fabuleux : c’est qu’il y a d’autres femmes que nos deux ou trois copines de vestiaires qui pratiquent le kendo ! Et déjà là, ça change tout : des jeunes, des moins jeunes, des élégantes ou des plus cools, on croise brusquement un florilège de nanas sympas qui partagent notre goût des hurlements et des bâtons en bambou.  C’est motivant car on ne peut pas se cacher derrière des arguments du type «les garçons sont naturellement plus forts» (vous y croyez encore ?) ou «je suis trop vieille, c’est pas un truc pour une maman». Et on voit des femmes rapides, douées, ouvertes pratiquer un magnifique kendo et… mettre une raclée à des gaillards qui font deux fois leur poids ! Bref, que du bonheur !

        Au-delà des femmes, il y a juste des gens. Bleus. Comme vous. Les copains du dojo qui sont là pour vous aider à vérifier que votre shinai soit en état, pour vous prêter leurs rubans de couleur («ah bon, fallait un ruban blanc et un ruban rouge ?»), vous rappeler comment saluer, vous coacher et vous encourager. Bon, oui, bien sûr merci à eux (Clément, Aleks) mais après tout, nous sommes du même dojo… C’est la famille quoi ! Je suis une ingrate, je sais. Mais faire une compétition c’est surtout, ce plaisir de voir qu’il y a de parfaits inconnus qui vous disent un petit mot gentil, qui vous donnent un conseil après vous avoir passé deux ippons en 42 secondes et qui vous félicitent ! Il y a bien sûr les pauses déjeuners et les dîners collectifs qui sont une occasion de davantage parler. Et la magie des ces compétitions non-officielles, c’est les Ronins : nous étions deux et finalement c’est un Coréen du Sud à l’anglais balbutiant qui fut notre troisième. D’inconnu, Mister Kim est devenu en 2 jours un bout de nous, notre partenaire, notre équipier, notre frère  d’armes : dîner ensemble, stratégie d’équipe, préparatifs … Et c’était une évidence pour lui comme pour nous. J’ajoute le plaisir de croiser des pratiquants qui étaient venus une ou deux fois au dojo, qui savent qui nous sommes et prennent le temps de se poser et de papoter. Bref, un peu une ambiance de grand mariage où on retrouve les cousins lointains, les pièces rapportées ou les amis d’amis. Sans le plan de table et l’obligation d’être aimable avec ceux qu’on trouve insupportables (bon personnellement, je débute alors pour l’instant je n’ai blacklisté personne mais je suis froidement réaliste).

        Pour finir, faut pas rigoler. Une compétition reste une compétition. On peut y aller en sachant qu’on ne repartira pas avec une médaille d’or autour du cou mais on y va pour faire du kendo. Porter les couleurs de notre dojo. Atteindre un objectif. Et progresser. J’ai découvert qu’il m’était dur de me mobiliser à 100 % contre de parfaits inconnus alors qu’à la maison j’ai davantage ce coup d’accélérateur pour essayer de bien faire. J’ai davantage touché du doigt la nécessité de zanshin et d’aller au bout de son attaque. J’ai bien senti que ma posture était trop inégale ou que j’avais un problème de distance. J’ai eu le trac, j’ai vraiment cru que j’aller me carapater avant que ça commence (j’ai brièvement envisagé l’argument «les enfants réclament leur maman») et puis…. Et puis j’y ai été malgré la peur. Et puis je n’ai pas eu mal. Et puis j’étais contente d’être là même si j’ai perdu pendant 99,8 % du temps 2 à 0. Je ne me suis pas sentie décalée ou hors jeu. J’étais à ma place : faire du kendo, de mon mieux, avec mes moyens, mon corps, mon esprit, mon âge. Et entre nous, j’ai réussi 2 ippons. C’est un truc de dingue. Le bruit, les drapeaux qui se lèvent. Je ne peux pas dire je savais qu’il y avait ippon tout de suite parce que j’y avais déjà cru avant et c’étaient de magnifiques loupés. Mais c’est juste que ces deux fois, il y avait un tout qui faisait que c’était léger, facile, comme si pendant quelques millièmes secondes je n’avais pas habité mon corps. Là est la différence avec le ippon-que-tu-crois-mais-il-n’y-est-pas :  tu as ce micro-moment pour pouvoir sentir l’écho de ton geste et mettre ce grain de sable dans ta poche. J’ai soutenu mes partenaires, j’ai fait de mon mieux. Et ils ont assuré. Une médaille pour nous, le fighting spirit. Et j’en suis fière. Et je n’ai pas la sensation de l’avoir volée, comme si j’avais été sur le banc de touche. J’ai été là, j’ai donné le maximum. Allez-y aussi.

                                                Milie

     

  • Seigakukan, Champion des inter-régions Occitanie-Nouvelle Aquitaine 2018

    Seigakukan, Champion des inter-régions Occitanie-Nouvelle Aquitaine 2018

    Encore de beaux résultats cette saison pour Seigakukan: deux médailles d’or, deux médailles de bronze, deux équipes et deux compétiteurs sélectionnés pour le Championnat de France Honneurs.

    En compétition individuelle:

    • Guillaume Munoz, médaille d’or en catégorie Hommes Kyu
    • Raphaël Neuville, médaille de bronze en catégorie Hommes Kyu
    • Léa Stéphany, médaille de bronze en catégorie Femmes Kyu
    • Romain Galy, Fighting Spirit en catégorie Hommes Honneur

    Romain Galy et Aleksandar Joksimovic sont sélectionnés pour le championnat de France.

    L’équipe 1 est médaille d’or, championne Occitanie-Nouvelle Aquitaine 2018 ! L’équipe 3 bute en huitième de finale face aux autres finalistes mais se qualifie pour le championnat de France !

    Bravo à tous et merci au club de Kendo de Samatan et à la CRKDR pour l’organisation.

  • [SKT] Entrainement commun des dojos toulousains

    [SKT] Entrainement commun des dojos toulousains

    Seigakukan accueille la prochaine réunion mensuelle des clubs toulousains. Celle-ci aura lieu le mercredi 28 février 2018 à 20 heures au dojo de Seigakukan à l’ITAO (9 impasse des Arènes à Toulouse). L’entrainement sera suivi d’un pot de l’amitié, cette fois pour fêter … notre retour des inter-régions (Et l’anniversaire de Raphaël, un petit peu en retard).

  • Stage régional du 9-10 décembre 2017

    Stage régional du 9-10 décembre 2017

    Lors du stage régional du 9-10 décembre était organisé une session d’initiation à l’arbitrage. Retrouvez ici en vidéo un des combats-exercices. Les combattants étaient Aleksandar Joksimovic (Seigakukan) et Maïlys Divet (Tarbes):

  • Premier Repas Commun de la Saison 2017-2018

    Premier Repas Commun de la Saison 2017-2018

    Retrouvons-nous autour d’un dîner !
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  • Retour sur la visite d’une classe de lycée

    Retour sur la visite d’une classe de lycée

    Comme prévu, les 1ère STMG du lycée Jean-Pierre Vernant sont venus s’essayer à notre art.
    Passées plusieurs surprises comme la mobilisation d’enseignants non-accompagnateurs, du proviseur et
    d’une CPE ou encore les pieds nus, les cris qui ont déstabilisé certains, le groupe s’est investi dans le
    cours avec beaucoup d’énergie. Voici leur retour :

    Une bonne expérience, à essayer.

    J’ai beaucoup aimé découvrir le kendo, ça change beaucoup des autres sports de combat. Mais
    je n’ai malheureusement pas pu pratiquer car j’étais malade mais j’ai apprécié ma mission de
    photographe.

    J’ai découvert un sport que je ne connaissais pas et j’ai beaucoup aimé le découvrir. Cela m’a
    fait du bien de pouvoir me défouler même si c’est fatiguant. J’ai beaucoup aimé.

    J’ai trouvé cette expérience extrêmement plaisante, c’était vraiment passionant d’avoir pu
    pratiquer du kendo. Cela permet de se lâcher, de donner le meilleur de nous-même, de se détendre et de se
    surpasser.

    Agréable découverte, riche en émotions ! A tester. j’en garde un très bon souvenir ! Léa B.

    J’ai découvert un sport que je ne connaissais pas du tout ; ça a été une expérience très
    enrichissante. Les «habitués» étaient tous prêts à nous aider, nous conseiller pour que l’on progresse.
    C’est super impressionnant de frapper des inconnus mais il faut le tester. Oriane

    Ça a permis de se lâcher, de s’exprimer. C’était cool.

    Au début, j’avais honte de crier car je ne comprenais pas l’intérêt. D’ailleurs je ne comprends
    toujours pas. Après, je trouve que c’est un bon moyen pour se libérer car tout note stress s’évade. Après,
    je trouve ce sport impressionnant et enrichissant car on a découvert un autre sport et une autre culture.
    Flore

    C’était une expérience vraiment bien, intéressante et j’ai été contente d’avoir découvert et
    essayer. Callista.

    C’était cool. Un peu physique. C’était une bonne expérience.

    C’est une expérience inoubliable que j’ai vraiment aimé ; c’était pas comme les autres. Sarah

    Cette expérience est vraiment à refaire, j’ai trouvé cela très amusant et très original. Ismaël C.

    C’était bien ; j’ai bien aimé découvrir ce sport.

    La soirée s’est très bien passée malgré la difficulté du sport et les courbatures du
    lendemain ; c’était intéressant et une très bonne expérience.

    Très accessible grâce à Pascal. Une bonne expérience qui peut être à refaire. Théo C

    Expérience formidable qui m’a permis de voir une autre facette du sport.

    Un nouveau sport culturellement et physiquement enrichissant. Pierre

    Rude, mais une très bonne expérience. L’ambiance est géniale et le maître aussi. Laura

    Cela m’a permis de me lâcher, de décompresser et de découvrir une nouvelle culture, un
    nouveau sport.

    Le kendo, une histoire humaine : l’individu face à lui-même, mais aussi une histoire de groupe.
    Carole (enseignante)

    Une expérience enrichissante pour tous, invités et hôtes. Un échange, un cadeau. Des élèves
    impressionnants d’implication. Emilie (enseignante)

    Un bilan très positif donc. À tous ces jeunes de mobiliser toutes les belles qualités démontrées au
    lycée ! Un sacré défi mais ils en sont capables.